Construire un futur possible et souhaitable pour l'humanité et la biodiversité !

Le futur à long terme est et restera toujours imprévisible ! Le futur de l'humanité se trouve parmi des tonnes et des tonnes de futurs possibles

On ne peut prédire le futur de l'humanité et de la biodiversité à long terme, ces futurs possibles au nombre incalculable peuvent se réaliser en fonction d'évènements imprévisibles ou pas. S'il fallait tous les stocker sur Terre, on aurait pas la place même en format numérique !

Prédire vraiment l'avenir correspondrait à pouvoir voyager dans le futur et en ramener des preuves comme dans l'excellente trilogie "Retour vers le futur". C'est de la pure science-fiction amusante.

Mieux vaut essayer de construire un futur possible et souhaitable pour l'humanité et la biodiversité plutôt que de ne rien faire et de subir le futur !

Le principal fléau du futur à long terme, c'est l'inconnu ! Face à ce fléau, mieux vaut utiliser l'expérience, faire preuve d'humilité et d'une grosse dose d'espoir de s'en sortir sans aller jusqu'à la naïveté extrême.

On ne peut jamais être totalement prêt pour affronter l'inconnu, sinon ce ne serait pas si inconnu que ça. Mieux vaut  apprendre à vivre avec le doute et l'espoir.

En tant que futurologue et utopiste, mon objectif global reste d'essayer d'entretenir l'espoir en construisant un futur possible et souhaitable à long terme pour l'humanité et la biodiversité 

La naissance du FPS500, un futur possible et enviable à long terme pour booster l'espoir 

Le Futur Possible et Souhaitable "FPS500" se construit à base de quelques réflexions et de visions, elles se limitent à la fin de la Terre habitable qui correspond à la mort du soleil dans plusieurs centaines de millions d'années (les 500 millions d'années sont une durée symbolique). 

Deux ères le composent, l'ère de l'ONU système solaire puis l'ère de l'ONU galactique comprenant des scénarios futuristes et évidemment utopiques pour gérer la conquête spatiale et la lutte contre les fléaux. Les points communs étant de maintenir la paix et la prospérité même dans les futurs mondes habitables de la galaxie.

Rien n'oblige à ce que la vie disparaisse avec la Terre, j'ai imaginé son déménagement ultime (y compris son habitat) dans notre galaxie avant la fin de la Terre habitable à cause de la mort du soleil. Mais avant d'en arriver à ce stade, il faudra surmonter d'innombrables fléaux sur Terre et dans l'espace.

Le FPS500 est une belle et grande utopie basée sur l'espoir et qui refuse la fatalité

Ce futur possible n'est évidemment pas apocalyptique, mais plutôt un futur enviable (malgré des fléaux monstrueux à surmonter) où la paix et la prospérité domine sur Terre et dans l'espace.

Le principal enseignement de ce FPS500 est que l'humanité doit arriver à mieux coordonner ses efforts pour combattre les fléaux, cela passe par l'évolution de la seule organisation représentante de l'humanité : l'ONU

L'ONU doit devenir la colonne vertébrale de l'évolution de l'humanité et cela doit commencer le plus tôt possible face à réchauffement climatique avec de nouveaux moyens financiers pour booster la lutte planétaire contre ce fléau.

L'idée d'attribuer à l'ONU les immenses richesses de l'espace qui aujourd'hui n'appartiennent à personne

Attribuer à l'ONU la propriété des immenses richesses de l'espace (en milliards de milliards de dollars) qui n'appartiennent à personne ou appartiennent à tout le monde !

La priorité absolue avant que la ruée vers l'or spatial ne commence vraiment ! 

Le projet de refondation financière et territoriale de l'ONU est le développement de cette idée pour booster rapidement la lutte contre les fléaux planétaires

Le projet de refondation financière et territoriale de l'ONU, c'est permettre l'exploitation des immenses richesses de l'espace par l'intermédiaire de concessions que l'ONU allouera aux multinationales spatiales ou aux pays. Elle en retirera d'immenses revenus qui serviront à financer en priorité la lutte contre les fléaux qui menacent l'humanité et la biodiversité.

C'est aussi la création d'une banque centrale et une monnaie pour l'ONU pour ne pas avoir à attendre la technologie pour exploiter ces richesses. L'ONU empruntera à sa future banque centrale de quoi financer cette lutte et remboursera ses emprunts dès que l'exploitation sera technologiquement rentable.

Combattre l'utopie est envisageable, elle n'est pas éternelle !

Combattre l'utopie est possible ! Un projet peut être utopique aujourd'hui mais pas forcément demain ! L'interprétation d'une utopie varie d'une époque à l'autre, il n'existe pas d'utopie immuable tout au long de l'évolution de l'humanité. Elle dépend des évolutions des sociétés humaines sur les plans technologique, humain et environnemental.

Travailler sur une démarche de gestion de projet utopique fait partie de mes passions, il est évident à mon avis que l'on ne doit pas baisser la tête face à l'utopie qui a trop mauvaise réputation en terme de crédibilité.

Cette démarche de gestion de projet utopique peut être comparée à une chasse au trésor où la chasse devient plus excitante que le trésor lui-même et cela grâce aux prédictions possiblement autoréalisatrices.

Parfois l'utopie peut être assimilée à un trésor presque inaccessible, on a très peu de chances de le trouver mais on s'accroche quand même. C'est dans cet esprit que cette démarche de gestion de projet utopique s'inscrit.

Cette démarche comprend des prédictions soulignant des caps à franchir et pouvant devenir autoréalisatrices grâce surtout à leur popularité, elles vont susciter davantage l'intérêt de la population, c'est l'effet recherché pour que le projet ait plus de chances de survivre en attendant de pouvoir vaincre son utopie grâce aux prédictions autoréalisées. 

Ces quelques idées futuristes et utopiques sont venues à mon esprit lors des réflexions sur le FPS500. J'en ai développé deux (attribuer les richesses de l'espace à l'ONU et combattre l'utopie), les autres peuvent être intéressantes à développer.

Philippe Ortolan (Twitter: @PhilippeOrtolan ou Facebook)

Futurologue et utopiste

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