La feuille de route envisageable de l'IA
Première étape : laisser l'IA se développer suffisamment et être utilisée couramment par tous les acteurs de la société
Chaque pays est libre de procéder comme il le souhaite, l'IA ne se développera pas à la même vitesse dans tous les Etats.
La laisser s'implanter permettra de mieux mesurer ses impacts positifs et négatifs
Le retour d'expérience est crucial car l'humanité n'a jamais connu d'intelligence artificielle. Sans recul, difficile de prendre les bonnes décisions en matière de régulation.
Chaque pays mettrait au point sa propre régulation avec le retour d'expérience
Profiter de cette période pour mettre au point cette régulation est intéressant, car il faudra certainement agir assez vite avant que l'addiction de la population et aussi des entreprises ne prenne trop d'ampleur.
Le contrôle et l'amélioration de la fiabilité de l'IA serait réalisée par les équipes du concepteur de l'IA, cela serait aussi déterminant pour la régulation.
La configuration liée au contexte d'utilisation dans les entreprises serait réalisée par les pays clients dans leurs propres intérêts.
Définir les seuils d'alertes IA ne va pas être facile
Ils doivent être flexibles pour mieux suivre l'évolution économique de chaque pays concernés par l'IA. Les indicateurs les plus importants sont le niveau de chômage et l'addiction de la population.
Mettre en place une traçabilité obligatoire des actions de l'IA !
Elle aura une carte d'identité (avec traçabilité des actions pour les autorités compétentes) qui apparaitra à chaque fois que les humains lui demande d'intervenir.
Elle ne pourra avancer masquée, un humain doit pouvoir toujours la reconnaitre. C'est important pour limiter le risque de manipulations massives qui pourraient toucher des centaines de millions d'humains dans le futur sur Terre et dans l'espace.
La conception et la mise en oeuvre possible de l'IA onusienne
L'ONU pourrait concevoir et lancer le développement une IA compatible avec ses besoins. Ce sera vraiment possible si le scénario de refondation de l'ONU a pu s'exécuter au préalable pour qu'elle puisse disposer d'une capacité d'emprunt presque illimitée, car son IA pourrait coûter plusieurs milliards de dollars entre la conception et les infrastructures...
Deuxième étape : dès que les seuils d'alerte seront dépassés, la régulation serait mise en place !
Un temps d'accès journalier décidé par chaque pays : une des pistes possibles pour la régulation de l'utilisation des IA et des robots IA concernant l'addiction de la population et des entreprises
Un temps d'accès journalier à toutes les IA validées par les autorités, on ne peut pas couper l'accès à l'IA sous peine de désorienter la population et les entreprises qui l'utilisent, mais on peut limiter son utilisation en limitant son temps d'accès.
Laisser libre d'accès la formation !
La formation des humains bien sûr ! L'IA est un atout dans ce domaine, on doit pouvoir en consommer autant que nécessaire.
Mettre en service l'IA onusienne pour les pays qui n'en possèdent pas ou pour controler leurs IA existantes s'ils en font la demande.
La condition est que L'ONU ait eu les moyens de développer son IA. Autrement dit la refondation de l'ONU a pu se réaliser à temps !
Finie la mondialisation, il faut désormais mieux protéger le marché intérieur face aux entreprises étrangères qui n'auraient pas de régulation à respecter dans leur pays
Logique car un pays doté d'usines robotisées à l'IA et tournées vers l'exportation peut faire des ravages sur le plan de la compétitivité pour la production en masse !
v1(1/12/25), v1.1(18/12/25), v1.2(19/12/25), v1.3(21/12/25), v1.4(22/12/25)