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    • Philippe Ortolan
    • Châtillon
  • Climat : Rester en dessous des 2° est possible grâce à un financement hypermassif de la lutte contre le réchauffement climatique ! !

    Aujourd'hui, l'humanité manque de moyens financiers pour stopper le réchauffement climatique qui continue malgré ses efforts. Les projections ne sont pas bonnes, on va allègrement dépasser les 2° à la fin du siècle, les conséquences vont être catastrophiques pour l'humanité et la biodiversité.

    Ce fléau planétaire coûte trop cher à combattre, plusieurs milliers de milliards de dollars par an en y rajoutant le coût de ses conséquences catastrophiques et c'est loin d'être stabilisé car les catastrophes s'aggravent ! Les pays riches ne sont pas assez riches pour supporter ce coût sans s'appauvrir, leur dette publique est souvent trop importante pour y recourir largement et leurs populations ne peuvent voir leurs impôts et taxes augmenter sous peine de trop casser leur pouvoir d'achat . Ponctionner davantage les plus riches ne suffira pas dans tous les cas ! Idem pour les entreprises, elles ne peuvent supporter ce coût sans perdre leur compétitivité.

    N'oublions pas que le réchauffement climatique peut durer plusieurs décennies ou même siècles, quelques décennies d'années de lutte ne suffisent pas pour s'en débarrasser sachant qu'il faut aussi innover sans cesse pour pomper les gaz à effets de serre de l'atmosphère et mieux protéger les populations

    La situation est grave, sans moyens financiers gigantesques pour lutter, l'humanité va beaucoup souffrir des conséquences catastrophiques du réchauffement. Des régions vont devenir inhabitables, des centaines de millions de migrants climatiques vont errer sur les routes à la recherche d'espace habitables ce qui va générer des conflits de territoires.

    Rien n'est jamais perdu d'avance, il existe une solution futuriste qui permet au moins d'avoir tout le financement nécessaire sans impacter l'économie mondiale, les entreprises, les pays et leurs populations.

    Attribuer à l'ONU les richesses spatiales qui aujourd'hui n'appartiennent à personne, leur valeur est quasiment infini par rapport à ce que nous connaissons sur Terre. En attendant de pouvoir les exploiter , l'ONU emprunterait à sa banque centrale (qu'il faudra créer) pour financer la lutte contre le réchauffement climatique. Elle remboursera ses prêts dans un futur proche quand le progrès technologique rendra possible l'exploitation de ces richesses spatiales (sous forme de concessions allouées aux exploitants). Cette solution est décrite dans le projet futuriste "Refondation financière et territoriale de l'ONU".

    Bien entendu, ce projet futuriste est utopique aujourd'hui mais pas forcément demain et cela grâce aux conséquences catastrophiques du réchauffement climatiques qui vont progressivement pousser les populations et leurs dirigeants à réfléchir aux grandes lignes de ce projet.

    Seul un évènement catastrophique de cette ampleur peut pousser l'humanité à refonder en profondeur le fonctionnement de l'ONU qui d'ailleurs est née suite à la 2ième guerre mondiale.

    On peut dire que ce projet futuriste peut se comporter comme une prophétie auto-réalisatrice, il suffit d'en parler pour que la population s'en souvienne lorsque qu'elle subira de plus en plus les impacts du réchauffement climatique !  

     

  • Stopper les mégafeux est possible grâce à L'ONU

    L'ONU peut acheter des centaines d'avions bombardiers d'eau et les répartir sur les continents concernés par les mégafeux

    L'avantage de les attribuer à l'ONU est qu'ils peuvent être utilisés plus facilement dans tous les pays qui en font la demande, le fait qu'ils n'appartiennent pas aux pays permet de limiter les problèmes diplomatiques liés au survol des territoires grâce à la neutralité de l'ONU.

    Les pays économiseront les investissements correspondants, ils pourront mieux se focaliser sur leurs propres moyens de lutte au sol qui nécessitent une connaissance approfondie des lieux.

    L'ONU va faciliter largement la lutte contre ces mégafeux toujours en coordination avec les pays concernés et sans surcoût pour eux

    Des centaines de milliers d'hectares partent en fumée chaque année sur quasiment tous les continents (l'Amazonie, la Californie, l'Australie, la Sibérie, le Groenland, le bassin méditerranéen et le bassin du Congo).

    La coordination des efforts de lutte est primordiale face à ces gigantesques incendies, la priorité étant la protection des habitations et de la nature. Ces moyens aériens supplémentaires devraient largement limiter la propagation des flammes grâce à ces flottes d'avions qui peuvent intervenir dans tous les pays selon leur rayon d'action.

    1000 canadairs couteraient environ 50 milliards de dollars (50 millions l'avion), ce ne sera pas un gros montant pour l'ONU refondée financièrement et territorialement 

    Evidemment, ce budget n'est supportable par l'ONU que si elle bénéficie de la refondation qui lui attribuera toutes les richesses de l'espace, une banque centrale et une monnaie propre. Ainsi, elle peut emprunter ce montant à sa banque centrale pour ne pas dépendre des marchés financiers classiques.

     

  • La refondation financière et territoriale de l'ONU

    Aujourd’hui, le moment est venu de tenter de promouvoir une évolution de mon projet futuriste et utopique de refondation de l’ONU : la refondation financière et territoriale de l’ONU.

    Une utopie de vouloir se débarrasser de l’utopie d’un projet futuriste ?

    Une évolution longue et difficile de cette refondation, l’utopie est aussi collante que la glue. Elle colle à la peau de tout projet futuriste, il ne faut pas avoir peur du ridicule et cela ralentit quand même ma démarche. 

    Les gens n’ont rien à faire de ce qu’il se passera dans plusieurs siècles, ils préfèrent le concret à l’utopie. On ne peut pas leur reprocher. Vivre l’instant présent est plus important que le futur lointain.

    Tirer ce projet vers le concret au moins en partie est toujours mon principal objectif. Ce n’est pas parce que les immenses richesses du système solaire ne sont pas exploitables aujourd’hui qu’il ne faut pas les prendre en compte dès maintenant pour les affecter à l’humanité. L’évolution de la technologie le permettra plus tard, en attendant, les attribuer à l’ONU permet à celle-ci d’anticiper des emprunts massifs pour largement combattre le réchauffement climatique.

    L’espoir fait vivre, j’ai toujours envie d’y croire malgré qu’à bientôt 60 ans, je ne suis pas aussi naïf qu’il y a 40 ans !

    Utopique aujourd’hui mais pas forcément demain !

    Ce projet futuriste de refondation de l’ONU reste utopique aujourd’hui mais pas forcément demain grâce à l’énorme financement qu’elle apporterait pour soulager tous les pays et leurs populations impliqués dans la lutte contre le réchauffement climatique. Cela peut progressivement les influencer et conduire à une prise de conscience bénéfique. 

  • L’ONU refondée pourrait largement aider le Pakistan pour faire face aux inondations catastrophiques

     Les inondations qui ont ravagé 10 % de son territoire en août dernier vont coûter plus de 16 milliards de dollars en reconstruction selon l’ONU, 2 millions d’habitations détruites, 33 millions de victimes,  1700 morts et  des milliers de kms de routes emportées.

     
    Le Pakistan n’a pas les moyens de payer la facture comme beaucoup d’autres pays s’ils étaient dans sa situation. Plus de 9 milliards d’aides internationales vont diminuer ce coût, la solidarité internationale joue son rôle, c’est rassurant ! 
     
    Mais les pluies diluviennes vont certainement revenir, le fléau du réchauffement climatique étant la principale cause, la facture va s’alourdir. 
    La refondation financière de l’ONU peut lui donner les moyens d’intervenir partout dans le monde pour lutter contre les impacts de ce fléau planétaire (https://cutt.ly/z9VnCon).
     
    Le Pakistan en aurait bien besoin !
     

  • Éradiquer la faim dans le monde est possible !

    Éradiquer la faim dans le monde est possible ! 
    L’onu refondee financièrement en est largement capable, quelques centaines de milliards de dollars d’aide ne sont pas un problème, sa nouvelle banque centrale peut l’assumer car la faim fait partie des fléaux qui menacent l’humanité ! 
    La difficulté vient de la surpopulation que cela pourrait engendrer et qui provoquerait une surconsommation des ressources alimentaires fournies par notre planète. 
    Une solution serait d’accompagner l’aide humanitaire par le contrôle des naissances, les terres peuvent être cultivées écologiquement dans la mesure du raisonnable et surtout dans le respect de la biodiversité.