Philippe Ortolan
Qui suis-je ? Un sénior de 59 ans optimiste et rêveur qui croit au futur de l'humanité sur Terre et dans l'espace !
Etant gamin, j'ai toujours rêvé de me balader dans l'espace, j'avais souvent la tête dans la Lune avec mon imagination débordante ! Malheureusement, mes fusées en Lego ne partaient pas dans l'espace, elles s'obstinaient toujours à revenir vers le sol.
Alors la conquête de la Lune, "Star Trek" et "Star Wars" m'ont permis de rêver encore plus et de me libérer enfin de cette fichue gravité terrestre grâce à la TV. Mais je n'étais physiquement pas fait pour être pilote d'avion de chasse et encore moins cosmonaute. La démocratisation de l'informatique des années 80 représentait l'avenir, j'ai suivi le mouvement et je ne le regrette pas 30 ans après.
Durant toutes ces années, j'ai toujours gardé un petit coin de conquête spatiale dans ma tête bien que la beauté de la nature m'impressionnait de plus en plus en vieillissant, on a envie de la protéger davantage face aux fléaux comme la pollution.
En 2013, je me suis essayé à l'écriture de roman d'anticipation : "les virusés", un virus qui peut modifier le comportement des humains en agissant sur le cerveau, un virus bienfaisant et terrifiant à la fois ! Cette expérience a été intéressante et éprouvante, il est difficile de faire vivre des personnages fictifs. Au fait, rien à voir avec la COVID 19.
En 2015, apparait une réflexion sur " l'âge d'or de l'humanité" qui aurait lieu dans un millénaire en pleine conquête spatiale (système solaire et même plus loin...), c'est le début d'une grande évolution de l'humanité sur Terre et dans l'espace, sa mentalité va aussi évoluer dans le bon sens. On voit apparaitre l'ONU dans un rôle plus prépondérant mais encore loin du niveau imaginé actuellement. L'avenir de l'humanité à moyen terme me passionne de plus en plus sans le définir par rapport aux films de science-fiction.
A partir de 2019, c'est aussi l'avenir à très long terme de l'humanité (jusqu'à la fin de la Terre habitable dans 500 millions d'années) qui me préoccupe, cette fin m'insupporte. Espérons que l'humanité n'aura pas attendu la fin de la Terre pour se développer dans la Voie Lactée en emmenant avec elle les autres espèces vivantes et leur habitat.
En 2022, trois ans que l'avenir de l'humanité me perturbe toujours autant, plus j'y pense plus je suis convaincu qu'il faut commencer le plus tôt possible à s'en préoccuper !
Depuis trois ans, la futurologie est devenu mon domaine de prédilection, il ne s'agit pas de prévoir ce qu'il va se passer mais plutôt d'imaginer des futurs selon son expérience, son ressenti et ses convictions. Futurologue amateur est ce qui me caractérise le mieux aujourd'hui à l'aube de la retraite professionnelle. La plus grande partie (plus de 27 ans) de mon activité professionnelle d'informaticien étant derrière moi, perdre de la crédibilité à cause de mon activité en futurologie ne me rebutera pas ni aujourd'hui ni demain.
L'ONU devient vraiment la pièce centrale de mon raisonnement pour assurer la paix et la prospérité (sur Terre et dans l'espace) entre les civilisations. D'autant plus que de futures espèces humaines descendantes de la nôtre se rajouteront dans l'arène, ce sera alors encore plus difficile de pacifier l'humanité même si les distances entre les implantations humaines seront de plus en plus grandes.
En 2023, je consacrerai plus de temps à la futurologie en tant qu'amateur, construire un futur pour l'humanité et la vie me semble de plus en plus important pour redonner confiance aux populations en ces temps difficiles. Une forme de prise de conscience qui progresse chez moi qu'il faut quand même donner une chance aux idées utopiques quand elles sont bonnes pour le futur de l'humanité et de la vie.
A force de vouloir refaire le monde dans le futur, on attrape le virus de la futurologie !
Je ne peux me résigner à imaginer la disparition de la vie même à la fin de l'habitabilité de la Terre provoquée par la mort du soleil.
La vie est le bien le plus précieux de l'univers, elle est rare et fragile. Ce serait un immense gâchis que de voir se perdre définitivement plus de 2 milliards d'années d'évolution de la vie. Elle a une valeur inestimable surtout quand les espèces humaines descendantes de la nôtre et réparties dans notre galaxie transformeront ce qui provient de la Terre en sanctuaire de la vie. La fin de la Terre habitable entrainerait définitivement la fin de la vie même si cela aurait lieu dans quelques centaines de millions d’années...
Mon imagination, mon sens de l'observation, ma bonne dose de naïveté, ma dose de folie et mon expérience de sénior me permettent de me projeter très loin sans pour autant remettre en cause tous les principes qui gouvernent l'humanité depuis sa naissance.
Actuellement, la science fiction m'ennuie un peu, c'est trop facile ! On y raccourcit trop souvent les distances entre planètes pour qu'une histoire tienne dans la durée d'un film, résultat il faut largement dépasser la vitesse de la lumière pour voyager parfois même instantanément ? Est-ce raisonnable d'imaginer le futur ainsi ? Et si on prenait le temps de voyager en faisant des étapes comme du temps de la conquête de la Terre par l'homme moderne ?
Parfois, j'ai l'impression qu'il vaut mieux être un peu naïf et ignorant pour se projeter dans le futur lointain, trop de connaissances peuvent engendrer de la peur et ralentir la progression en se focalisant trop sur les plus proches obstacles à surmonter.
"Mieux vaut se construire un futur que de le subir" pourrait être ma devise. Cela oblige à progresser dans ses réflexions pour imaginer un futur utopique (malgré ses incertitudes) qui ne soit pas à des année-lumières de la réalité.
Pourtant l'expérience et les connaissances scientifiques de l'humanité sont vitales si on veut avancer dans le futur tout en corrigeant les erreurs du passé. Aller dans la bonne direction demande de trouver un équilibre entre connaissance, naïveté, intuition et adaptabilité. C'est très difficile à réunir et j'en suis très loin, qui pourrait m'aider ?
On commence par avoir des idées utopiques du niveau de conversations passionnées de bar, puis on cherche à les approndir en essayant de les rapprocher de la réalité. On finit par se prendre au jeu.
Se forcer à imaginer positivement l'avenir très lointain donne de l'espoir !
Se projeter loin en avant booste la croyance en l'avenir malgré tous les obstacles à surmonter ! Bien que la priorité reste toujours de survivre à la plus proche catastrophe possible, cette gymnastique du cerveau a du bon même si cela ressemble à du rêve.
Se projeter positivement dans des millions d'années donne l'espoir que l'humanité peut surmonter les fléaux les plus dangereux pour la vie née sur Terre. Tous les travaux planétaires les plus méga-pharaoniques ne doivent pas faire peur, leur financement n'est pas un problème insurmontable quand il s'agit de protéger la vie.
Progresser en sortant progressivement de l'utopie pour devenir beaucoup plus crédible dans les années qui viennent est mon principal objectif !
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