Projet LCFP : présentation
Pourquoi ce projet futuriste et utopique pour lutter contre ces fléaux planétaires qui menacent l'humanité et la biodiversité ?
Ce projet donne un aperçu de ce que devrait être le projet futuriste et utopique de lutte antifléaux planétaires avec les moyens de l'ONU refondée.
Sous la forme d'un avant-projet pour le moment, il concerne sur tout le démarrage de cette lutte planétaire, elle sera évidemment poursuivie tout au long que durera l'habitabilité de la Terre jusqu'à la mort du soleil. Le scénario SF500 antifléaux décrit globalement la continuité de cette lutte.
La lutte existe déjà contre la plupart de ces fléaux planétaires qui menacent l'humanité et la biodiversité, mais reste trop limitée dans ses ressources surtout financières, pourtant la volonté ne manque pas mais le manque de ressources pénalise trop cette lutte de tous les instants.
La principale raison est financière !
Ces fléaux coutent bien trop cher à l'humanité
Jamais l'humanité n'a connu de bouleversement aussi important dans son évolution, le réchauffement climatique imposera des travaux pharaoniques répartis sur toute la planète, quelques exemples : reconstruction de villes côtières inondées, refroidissement du climat, lutte contre la désertification...
D'autant plus qu'il existe d'autres fléaux à combattre comme la pollution de la planète (le nettoyage des continents, mers et océans) pour transformer notre belle planète bleue en sanctuaire de la vie.
Une simple pandémie a déjà mis à mal les finances publiques de beaucoup de pays, rien que les impacts du réchauffement climatique ne peuvent pas être supportés financièrement surtout s'il faut reconstruire des villes côtières...
Les populations, ni les entreprises, ni les pays ne peuvent financer entièrement les travaux pharaoniques liés à la survie de l'humanité et de la biodiversité
Ceci dit, la lutte contre le réchauffement climatique avance quand même, les pays font ce qu'ils peuvent avec leur finance publique mais leurs efforts ne doivent pas trop coûter à leurs populations sinon elles se rebelleront et aggraveront les fléaux comme le réchauffement climatique par des conflits. L'avertissement du mouvement des gilets jaunes en France est un bon exemple.
L'ONU dans son état actuel ne peut rien faire, elle manque cruellement de moyens financiers, son budget annuel de fonctionnement d'environ 10 milliards de dollars est largement insuffisant pour aider à financer la lutte contre les fléaux qui menacent la vie sur Terre
Actuellement l'ONU à cause de son maigre budget ne peut pas faire ce qu'elle veut pour maintenir la paix dans le monde et lutter contre la malnutrition... Elle est obligée de demander des rallonges budgétaires aux pays riches quand ils le peuvent.
L'ONU a besoin de diversifier ses sources de revenus pour largement les augmenter.
L'objectif de ce projet "antifléaux planétaires" est de mettre en place l'organisation et les infrastructures associées pour démarrer le financement par l'ONU avec ses nouveaux moyens venant de sa refondation
Un avant-projet utopique aujourd'hui mais pas forcément demain, c'est vrai qu'il dépend énormément de la refondation financière et territoriale de l'ONU en héritant de son utopie.
La mise en oeuvre de l'organisation et des infrastructures prendront du temps, mais on ne peut pas considérer que cette opération est une prédiction sachant que les humains mettent moins de temps à décider de l'emploi de subventions que de déterminer qui va payer !
Les premiers résultats des subventions de l'ONU marqueront la fin de ce projet. La lutte continuera bien entendu sous la forme d'autres projets dans le cadre du scénario futuriste de boost de la lutte continue contre les fléaux.
Une large dépendance au projet de refondation financière et territoriale de l'ONU
Une large dépendance au projet utopique de refondation financière et territoriale de l'ONU
Cet avant-projet dépend beaucoup de la refondation financière et territoriale de l'ONU qui lui donnera d'énormes moyens financiers pour assurer sa viabilité à court et à très long terme. Cette refondation est vraiment un prérequis pour le démarrage de ce projet onusien antifléaux sinon, le financement de l'ONU n'évoluera pas significativement.
En tant que projet planétaire, seule une organisation internationale et reconnue comme l'ONU pourra le gérer vu les montants astronomiques qui seraient engagés
Le bon sens doit l'emporter, l'ONU existe déjà et est la mieux placée pour préserver l'humanité et de la biodiversité sur leur planète berceau.
L'organisation
Une gouvernance démocratique grâce à l'ONU
L'ONU sera toujours la colonne vertébrale tout au long du projet et même après ! C'est l'organisation démocratique la mieux placée et la plus crédible.
Une gestion démocratique de cette lutte par l'ONU et son Assemblée générale exceptionnelle pour les décisions importantes
Cette gestion démocratique doit être rigoureuse ! Le vote des décisions importantes en assemblée générale va crédibiliser la gestion de ce projet qui ne peut être que démocratique car concernant tous les pays.
Les décisions se prendrait à la majorité des votes pour éviter des situations de blocage. Il n'y aura certainement pas de consensus au niveau mondial pour ces opérations, certains pays se sentiront lésés par rapport à leur voisins. Cette situation peut bloquer le démarrage des opérations s'il faudrait avoir l'unanimité des votes. La majorité des votes est la solution à ces situations de blocage.
La participation des pays concernés est vitale pour la réussite du projet, ils interviennent localement pour l'application des mesures décidées en assemblée générale de l'ONU
Chaque pays a la responsabilité de la réalisation des opérations locales contrôlées par une délégation de l'ONU. Elle ne fera pas de chèque en blanc, ses fonds ne doivent pas servir à l'achat d'armes par exemple...
Il y aura beaucoup d'obstacles locaux à surmonter. Les ressources nécessaires pour la lutte ne seront pas forcément disponibles en temps utile. Des choix seront à faire en collaboration avec les pays concernés concernant la priorisation des opérations de lutte.
Grâce à sa refondation financière et territoriale, l'ONU pourra financer cette lutte tout en contrôlant la santé de l'économie mondiale et des économies nationales
Les actions de l'ONU ne doivent pas pénaliser économiquement les pays, l'ONU ne pratiquera pas le concept de la monnaie hélicoptère génératrice d'inflation incontrôlable.
Une agence onusienne par fléau planétaire
L'ONU créerait une agence par fléau planétaire (réchauffement climatique, pollution...) à combattre et qui n'existe pas déjà.
L'agence créera cette agence pour coordonner la lutte, ainsi les ressources allouées seront mieux gérées. Elle aura pour mission de définir et de surveiller le déroulement du projet relatif à chaque pays dont l'utilisation des fonds onusiens qui auront été alloués à chaque pays. Elle consolidera les états d'avancement au niveau mondial et décidera des points à améliorer toujours en collaboration avec les pays.
Chaque agence onusienne ferait appel à des scientifiques de tous les pays pour établir une feuille route planétaire et les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs fixés. Il faudra faire des choix car tout ne sera pas possible en même temps.
Chaque pays créera un projet national (ou même une agence nationale si possible) pour coordonner nationalement les opérations en collaboration avec l'agence de l'ONU.
Des équipes des agences fléaux onusiennes seront détachées dans chaque pays où seront entrepris des travaux.
Chaque pays aurait une "agence fléau nationale" correspondante et gérée par les autorités du pays, elle centraliserait tous les efforts du pays sur les points suivants :
Participer à la définition des opérations (et de leur coût) en collaboration avec les scientifiques, les agences continentales si elles existent et celle de l'ONU. La collaboration pour la recherche du consensus est vitale pour leur démarrage. L'ONU agirait surtout comme maitrise d'ouvrage étant donnée qu'elle les finance.
Gérer la réalisation des opérations à partir du moment où ils ont été votés en Assemblée générale de l'ONU. Rendre compte de l'avancement à l'ONU pour rectifier le tir si nécessaire, ce qui pourrait provoquer un nouveau vote de l'assemblé générale en fonction de l'importance des évolutions à apporter.
Quelle feuille de route ?
La première étape est de pousser à la réalisation du projet de refondation financière et territoriale de l'ONU
C'est le prérequis obligatoire, sans les énormes moyens financiers de l'ONU refondée, ce projet antifléaux planétaires n'avancera pas ! Cette refondation constitue la plus grosse part de l'utopie à vaincre du projet.
La deuxième étape largement moins utopique est l'adoption en assemblée générale de l'ONU de la phase de démarrage de ce projet planétaire
L'identification des fléaux planétaires les plus prioritaires à traiter. Il ne servirait à rien de les mettre tous prioritaires, la chute d'un gros astéroïde ne peut pas être mis au même niveau que le réchauffement climatique.
La création de la nouvelle organisation côté ONU qui comprend une agence par fléau, on peut les créer selon leur existence ou pas selon la priorisation décidée des fléaux à combattre.
Cette phase sera toujours plus facile que la précédente à partir du moment ou l'argent est disponible, le contexte est différent. C'est toujours plus facile de partager un gâteau quand il existe !
La troisième étape consiste en la mise en place de l'organisation et de l'infrastructure
Créer les agences fléaux de l'ONU et ouvrir des bureaux correspondants dans tous les pays concernés par cette lutte, ces agences doivent être représentées dans chaque pays pour pouvoir suivre les opérations correspondantes
Les premières subventions attribuées à la lutte contre les fléaux planétaires traduiront la fin de ce projet et le démarrage du scénario SF500Ma antifléaux planétaires qui lui va se dérouler sur 500 millions d'années.
v1.1(28/10/22), v1.2(30/10/22), v1.3(31/10/22),v1.4(23/08/23),v1.5(27/09/23), v1.6(28/08/24), v1.7(17/10/24), v1.8(20/11/24), v1.9(2/12/24)